Il est clair que pour le français moyen, Hugh Hefner n'est pas très connu ! mais si l'on parle de la célèbre revue "Playboy", nous connaissons tous la célèbre revue aux petits lapins, créée en 1953 par ce fameux Hugh Hefner. Qui n'a pas eu entre ses mains, jeune adolescent boutonneux, la curiosité de découvrir les reportages de toute natures, qu'ils soit politiques, culturels, sportifs ou autres . . . Certes, il y avait sur quelques pages de jeunes femmes, pas farouches pour un sou, qui avaient toujours chaud au point de ne garder aucun vêtements ! Mais ça, c'est du détail. Ce qu'il faut retenir c'était la très haute tenue de ses articles durant les années 50 à 80, où tout ce qui compte de célébrités, quelque soient leur compétences sont passés "causer le bout de gras" sur des pages entières. Après un début difficile, cette revue s'est mise à "décoller" au point d'en vendre des millions d'exemplaires tous les mois rendant Hugh Hefner riche à millions. La légende dit qu'il aurait le plus gros avion privé des États-unis . . . après Air-force-one, l'avion présidentiel. Il est surtout devenu très riche en diffusant des millions d'objets dérivés, et c'est là, cher lecteur, que ça devient intéressant !
Il y a une pratique très courant aux états-unis qui consiste à publier une revue très connue, comme Life-magazine et pleins d'autres, comme Playboy, vantant les mérites de tel ou tel produit. C'est une publicité de luxe à très large diffusion. Citroën a fait appel à ce genre de publicité pour vendre sa DS 19. Il y avait des revues spécialisées dans l'automobile comme The motors, Motor sport, Sports cars, des revues scientifiques comme Popular science ou plus généralistes comme life magazine. Vous pouvez trouver ces exemples sur cette page.
En 1971, Citroën commande un tirage spécial à Playboy pour faire connaitre sa nouvelle bombe "haut de gamme", la SM.
A toi cher lecteur, après avoir mis un cierge à la mémoire d'Hugh Hefner, après avoir sorti de ton grenier quelques vieux playboys poussiéreux, je t'autorise à lire religieusement les pages qui vont suivre.  Attention ! C'est chaud, chaud, chaud . . .
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